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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 13:30

Bonjour à tous !

Voici la version complétée de l'article sur mon armée grecque. Suivent après ce qui a déjà paru quelques considérations tactiques sur son utilisation. Bonne lecture !

couverture

Décidément, nous sommes bien occupés, et ne postons qu'insuffisament sur ce blog. Mais rattrapons, mieux vaut tard que jamais !

 

En juin dernier, Tyty et moi faision le déplacement jusqu'à Brest, aux confins du monde donc, pour participer à un tournoi utilisant la règle DBM, avec une adaptation pour jouer en 200 points. Une bonne idée, qui permet de jouir des mécanismes de DBM, tout en allégeant beaucoup la mise en place et la durée des parties.

 

Je salue les participants de ce Trophée des Celtes qui passeraient par là.

 

Nous avec réussi à bien nous placer dans ces rencontres Tyty et moi, lui avec ses Perses achéménides, moi avec mes Grecs du 6è ou début 5è siècle avJC.

Je vais faire une petite revue des troupes de mon armée Early Hoplite Greek, liste 52 livre 1.

couverture2

L'armée grecque, surtout celle-ci, est un peu rigide. La troupe majoritaire est le hoplite, qui constitue l'essentiel des effectifs de l'armée. Pour pouvoir m'en sortir dans un maximum de situation, j'ai pris toutes les autres troupes disponibles : le maximum de Psiloi (O et I), le maximum d'Auxiliaires (des Thraces O), le maximum (ou presque) de cavalerie, le tout dans le cadre d'une armée ayant un général en chef athénien, un premier allié athénien aussi, et un dernier allié thessalien, disponible en ayant le C-in-C athénien. Ce dernier offre un général allié Cv(O), ainsi que 5 LH(O), qui font autrement cruellement défaut à cette liste.

Cette alliance thessalienne à Athène correspond je crois à cette bataille en -511 (ou dans ces eaux là, peut-être après, désolé pour l'approximation, mais je n'ai pas Hérodote sous la main) lors de laquelle les cavaliers thessaliens s'étaient unis aux Athéniens alors que Sparte sortait de chez elle pour botter le cul à leurs rivaux de l'Attique. Les Spartiates s'étaient fait piétiner par la cavalerie, et, laconiques, avaient répondu "ouille".

 

Mais venons-en au fait. Je vais vous donner la liste, globalement. En effet, elle est suffisament rigide pour ne pas offrir trente-six possibilités, je vais donc vous passer l'historique de sa conception, qui est avant tout empirique et de toutes façons peu libre. Le rigolo sera de voir comment l'utiliser dans une partie en 200 points, car c'est pour cela qu'elle est faite.

 

Corps 1 - Athène

C-in-C irr Sp(O) 9AP

12 irr Sp(O) 48AP

5 reg Ps(O) 10AP

Corps1.2Corps1.1Soit 15,5équivalents éléments (éé), et une démoralisation du corps suite à la perte de 5,5éé -le tiers- (rappelons que les Psiloi valent 0,5éé, le reste 1éé la plaquette).


Corps 2 - Athène encore, mais un autre quartier !

Ally general irr Sp(O) 6,5AP

13 irr Sp(O) 52AP

4 irr Ps(I) 4AP

2 irr Ax(O) 6AP (ce sont les Thraces disponibles pour les Athéniens)

Corps2.3COrps2.2Corps2.1Soit 18éé et une démoralisation du corps à 6éé.

 

Corps 3 - L'allié thessalien.

Ally general reg Cv(O) 9,5AP

2 irr Cv(I) 10AP

5 irr LH(0) 25AP

4 irr Sp(O) 16AP    (nécessaires, chaque corps devant contenir un quart du minimum global des troupes obligatoires, il y a au minimum 16 hoplites dans l'armée en 200 points, puisque les minima sont divisés par deux, le quart de 16 étant 4)

4 irr Ps(I) 4AP

Corps3.3Corps3.1Corps3.4Corps3.2Soit 14éé et une démoralisation du corps à 5éé.

 

En tout, l'armée comporte 47,5éé, et démoralise suite à la perte de 24 éé -la moitié.

Vous voyez que les corps sont à peu près balancés équitablement, et qu'il faudra démoraliser deux corps pour emporter l'armée (un corps démoralisé compte sa valeur complète en éé dans la démoralisation de l'armée, qui est démoralisée quand la moitié de sa valeur totale en éé est démoralisée, détruite, ou sortie de table). Vue la quantité de troupe, cela fait donc de la réserve, et nous donne à mes Grecs et à moi, de quoi encaisser un peu.

De plus, le balancement des corps permet une souplesse dans le placement, car non seulement, ils sont à peu près de la même taille, mais ils n'ont pas de rôle figé les uns par rapport aux autres.

armée entière déployée

Comme vous avez pu le constater, l'armée que peuvent mobiliser les cités grecques alliée est très monolithique. Enormément de hoplites, et peu de troupes auxiliaires, proportionnellement.

Cela a ses avantages et ses inconvénients. Tentons d'en avoir un aperçu.
Dans l'arrangement de la règle DBM pour jouer en 200 points, il y a toujours sur la table 3 éléments de terrain : 2 forêts qui sont des éléments difficiles, et une colline, qui peut être douce ou escarpé.
Un élément de terrain difficile pose de gros problèmes pour la manoeuvre de tout ce qui n'est pas Psiloi (les plaquettes n'y bougent qu'une par une, ou bien en colonne) ainsi que pour le combat d'à peu près toutes les troupes, sauf encore une fois les Psiloi, et les Auxiliaires, qui s'accomodent bien eux aussi des terrains encombrés quand il s'agit de s'y battre.

Un élément de terrain escarpé, comme peut l'être la colline (qu'on imagine rocailleuse, abrupte, à la végétation dense et un peu haute...) ne posera pas de problème de manoeuvre, mais aura les mêmes effets pour le combat que les forêts.

C'est pourquoi il essayer, c'est en tout cas mon idée, d'avoir le maximum de ces troupes, et notamment de Psiloi, pour pouvoir investir les forêts et la colline si elle est escarpée. J'ai pris tout ce qui est disponible de Psiloi et d'Auxiliaires dans la liste pour mon armée : 5 Psiloi (O)rdinaires qui sont des archers en tirailleurs (sur lesquels je reviendrai plus loin) et 8 Psiloi (I)nférieurs, plus 2 Auxiliaires (O), des Thraces alliés.

Ils sont répartis dans les 3 corps, mais en groupant tous les Ps(O) dans un seul. Et voila à quoi ils me servent !

 

1. De l'usage des troupes légères à pieds, Ps(O), Ps(I), et Ax(O).

 

 

Les Psiloi(O) sont des archers tirailleurs. Ils ont comme particularité quand ils sont athéniens, de pouvoir soutenir leurs camarades hoplites du quartier. C'est utile dans la mesure où le soutien d'un Sp par un Ps(O) infligera -1 au combat à des chevaliers (Knights) ou à des Warbands qui gagneraient contre les hoplites Sp. Comme ma pire crainte réside dans les armées de Warbands, mais aussi dans une moindre mesure celles contenant des chevaliers, ce malus infligé par les Ps(O) qui tirent leurs petites flèches par dessus leurs copains est une bouffée d'air supplémentaire. Il arrive toujours que l'on se fasse plier salement sur un jet de dés malchanceux, mais on diminue drastiquement les risques.

soutien1Ces archers tirailleurs sont employés de façon groupée, dans le même corps, pour appuyer une ligne la plus longue possible, dans l'éventualité d'un face à face avec les troupes citées ci-dessus, Kn ou Wb.
Vous me direz, si un corps de Wb vient à être déployé ailleurs qu'en face des hoplites athéniens qui ont des petites flèches au dessus de leurs têtes, le soutien ne sert à rien. Et oui ! Et puis ? C'est toujours classe d'avoir des petites flèches au dessus de la tête ! Non mais alors.

soutien2Autrement, si les Psiloi(O) ne sont pas utilisés en soutien arrière des Sp, ils serviront, comme les autre Ps(I), et comme dans une moindre mesure les Ax, à attaquer, ou prendre possession des terrains difficiles ou inégaux.

Quand la phalange des hoplites avance, et même si elle défend, il est bon qu'elle soit couverte sur ses flancs. Pour cela, on peut ménager un itinéraire ou une position au bord d'un bois. Mais cela à la condition non discutable que l'on contrôle ce terrain difficile ! Si aucun Psiloi ennemi n'y est, hop, on y va ! Si des Psiloi ennemis y sont, essayons de les débusquer et de les massacrer !

Généralement, dans les combats de Psiloi, le rapport de force se voir facilement. Cela qui en a le plus gagnera. Ou alors, il faut glisser dans son groupe quelques plaquettes d'Auxilaires, qui apporteront un mordant appréciable, ou alors il faut disposer de Ps(Supérieur). En tant que Grec des années 500 avant JC, nous n'avons que peu d'Ax (2 !), et pas de Ps(S).

Il arrive que l'adversaire soit mieux fourni dans ce genre de troupe. Il faut faire avec. Il faut alors imaginer inverstir un seul terrain difficile avec tous les Ps, quand l'adversaire n'y aura embusqué qu'une partie des siens.

Ou alors, il faut abandonner l'idée d'appuyer sa phalange sur les bois...

 

Dans la version 200 points de DBM, et quand on est défenseur, l'on n'est exposé à l'éventualité d'une marche de flanc d'une partie de l'armée ennemie. Si un terrain inégal ou difficile barre l'accès aux bagages, à un flanc ou au dos de mon armée, ou si même sans barrer la route, ce terrain l'obstrue suffisament, il m'arrive de placer quelques Psiloi dedans, parfois en embuscade (ce que l'on peut faire en tant que défenseur, si le terrain est dans une zone latérale de la table). Si une marche de flanc arrive en effet de ce côté, les Psiloi pourront au minimum ralentir la progression des troupes ennemies (pendant que l'on s'organise comme on peut ailleurs), et même parfois carrément bloquer l'avancée de cavaliers qui auraient à traverser ou bien à passer trop près des bois, et qui se feraient intercepter par les Ps qui s'y trouve (prenant un gros malus de -2 au combat pour combattre des troupes se trouvant dans les bois).

 

Beaucoup plus rarement, jamais peut-être, mes Psiloi n'occupent d'autre rôle, comme celui de maintenir la cohésion de la ligne entre les différents corps. Ils sont bien trop fragiles face à des cavaliers, archers ou auxiliaires un peu nombreux, dans la plaine. Ils sont par ailleurs quasiment toujours indispensables dans les rôles décrits ci-dessus.
Surtout, vous allez voir que la sauvegarde de la cohésion de la ligne est une mission que je confie à d'autres troupes...

 

Tout cela concerne aussi, dans une mesure moindre, les 2 plaquettes d'Ax thraces. Ceux-ci peuvent avoir deux types d'utilisation supplémentaires.
Le premier, c'est tout simplement de servir dans la ligne, autour ou dans la phalange des hoplites. Ils tiennent en effet correctement la route dans la plaine face à beaucoup d'ennemis. Alors, si nécessaire... Ils peuvent aussi se trouver derrière la ligne, et venir boucher, grâce à leur facilité de mouvement, un trou éventuel dans la phalange.

Le deuxième est encore un moyen de prévention contre ces troupes qui l'ennuient tant, que sont les chevaliers et les Warbands. Une plaquette d'auxiliaire peut être utilisée en appât devant les hoplites. Plaquette seule, face à une ligne de Warband par exemple, au contact elle ne vaudra plus que 1, contre 3 pour les Wb, 4 s'ils sont sur deux rangs.Elle se fera pulvériser. La plaquette de Wb adverse, gagnante du combat, va avancer de sa profondeur de plaquette.

Ax.suicide Si l'Ax mort pour la France... Hum, pour la Grèce, n'était pas trop loin, il n'y aura plus qu'à avancer la ligne d'hoplite sur le Wb en avant de sa ligne, qui prendra deux débords, et se retrouver à 1 ou 2 s'il est soutenu contre 5 (oui car il faut mettre les hoplites en profondeur, pour augmenter la poussée). Les chances de pulvériser le Wb sont grandes, le trou dans leur ligne ainsi créé augmentera les chances de la phalange de démanteler ces sales brutes avant d'être elle-même atomisée (oui, car le Wb atomise le Sp qui n'a pas été vigilant... ouarf).

Ax.suicide2

 

2. De l'usage du reste de l'armée, les hoplites et la cavalerie.

 

Les deux corps de hoplite, monoblocs, sont l'arme de poussée de l'armée. Certaines troupes ne tiennent d'ailleurs tout simplement pas le route face à eux (chevaliers ou warbands esseulés, auxiliaires, archers, voire lanciers ou piquiers sans profondeur...). Les ennemis qui résistent à la poussée des hoplites, comme la cavalerie, doivent être tournés, et pris en même temps par le flanc ou le dos, afin de couper leur retraite. Sauf que la ligne hoplitique, si elle est solide et puissante, court également le risque de se faire contourner, d'autant qu'elle n'est pas réorganisable du tout.
Ce risque de contournement est vrai en général, mais il est pire encore à DBM 200, quand on est défenseur, et donc que l'attaquant a la possibilité de tenter une mache de flanc.

 

Voyons un peu quoi faire, considérant les corps 1 et 2, largement composés comme la première ligne, et le corps 3, composé d'un appoint de hoplites, de cavalerie et de cavalerie légère, comme complémentaire, ce dernier pouvant jouer divers rôles de soutien, que sont la protection des flancs, la réserve, ou bien l'enveloppement de l'ennemi.

 

A. La réserve.

Cv.Sp.couvTout simplement, si la ligne de hoplite est trouée et qu'un ennemi s'insinue au milieu, vous êtes mort... Voila pourquoi, il peut être envisageable de conserver une réserve, un soutien, derrière la ligne, qui entrera en action en cas de rupture de la première ligne. A priori, un ennemi qui a percé mais qui se retrouve contre un nouvel ennemi, coincé qu'il est dans l'espace qu'il s'est créé, ne fera pas long feu.
De la cavalerie peut être une bonne réserve pour contre-attaquer des chevaliers ou des Warbands qui auraient percé, puisque la Cv craint moins ces types de troupe que les hoplites (Spears).

Cv.couvSp.couvB. La réserve en prolongation.

C'est à la fois une réserve et une prolongation de la ligne. Un petit groupe de troup peut se trouver dans le prolongement, légèrement en retrait. Plus court et donc un peu moins rigide, il peut servir à limiter les manoeuvres ennemies sur les ailes de l'armée, afin de protéger les flancs si délicats des Grecs.

C'est donc l'appoint de hoplite du corps thessalien qui peut prendre ce rôle (moins soyons moins rigides que la phalange, on peut détacher une partie des Sp d'un des deux premiers corps et faire exactement la même chose).

Sp.aileC. La protection des flancs et de l'arrière.

Face à certaines armées, ou dans le cas de marches de flancs ennemies bien senties, on a vite fait de se faire prendre de côté ou par l'arrière (ou encore de se faire piller les bagages) par tout un corps de cavalerie enragée.

Le soutien du corps 3 aux deux autres peut servir de deux façons pour essayer de contrer cela.

D'abord, en plaçant tout simplement un rideau défensif statique composé des 4 hoplites thessaliens, face à la menace ennemie, soit en avant des bagages, soit en arrière d'un des corps de hoplites et perpendiculairement à lui, soit appuyé à un terrain inégal ou difficile, si possible lui-même déjà défendu par les Psiloi comme préconisé plus haut.

 

On peut autrement se servir de la cavalerie légère pour contrer de telles initiatives ennemies. Elle peut être déjà placée sur un flanc ou en arrière, à la façon des hoplites décrits aux lignes du dessus.

ailes2Ces LH sont prêts à bondir, que ce soit pour défendre le flanc des hoplites contre la menace, ou bien pour les dépasser et combattre en avant de la ligne.

 

Les LH peuvent encore être placé tout simplement en arrière de la ligne, si l'on ne sait pas de quel côté viendra le danger, pour être ensuite rapidement dirigés vers une zone et redéployés, ainsi :

LH1LH3Entre ces deux positions, il y a trois mouvement : deux en colonne vers la gauche, puis une sortie de colonne. Cette manoeuvre peut donc raisonnablement être réalisée en un tour, au pire en deux, avec trois PIP. On aurait pu la faire dans l'autre sens, dans une direction différente, plus longue, plus courte... Bref, la cavalerie légère ou le bonheur de pouvoir faire ce que l'on veut !

LH4Considérant les points abordés au dessus pour la sauvegarde des flancs de la phalange, voici une vue d'ensemble qui permet de résumer les possibilités étudiées :

ailesLes hoplites fixes à droite sont une entrave sérieuse pour le pillage des bagages par l'ennemi, si ce sont des troupes légères ou de la cavalerie qui doivent s'en charger. Si ce sont des Wb, c'est une autre histoire...

 

D. Césure dans la ligne adverse et exploitation.
L'une des clefs du jeu, Tyty vous le redira, c'est l'exploitation des failles, soit qu'elles soient dans la jonction de deux corps ou de deux types de troupes, soit qu'il faille les créer soi-même... Ce que les hoplites, qui poussent fort avec leurs boucliers savent faire !

faille1

Les deux corps de hoplites vont pousser la ligne ennemie, mais de façon non uniforme. Celle de gauche, plus une avant, est destinée à frapper la première et le plus en avant. Derrière, la cavalerie est prête à l'action.

faille2

Voici l'ennemi. Bon, c'est anachronique, puisque ce sont mes quelques Egyptiens de la 19è dynastie. Enfin, cela n'empêche rien !

faille3

Le premier corps de hoplite commence à attaquer. A chaque fois que les hoplites repoussent l'ennemi, ils sont obligés d'avancer en conséquence, puisqu'ils sont irréguliers (et donc peu contrôlables et un peu impétueux). Le deuxième corps de hoplites, à droite, est suffisament avancé pour interdire, grâce à leur zone de contrôle, aux chars de prendre le flanc des hoplites plus en avant.

faille4

Comme dans de nombreux cas, les hoplites sont les plus forts et poussent l'ennemi au loin. Le flanc des chars s'ouvre. Ce ne sont pas les hoplites qui exploiteront cette faille, puisqu'ils sont trop lents et pas manoeuvrables.

faille5

La faille s'élargit, les cavaliers grecs s'engouffrent dans la brèche, tandis que les hoplites de droite s'avancent sur les chars.

faille6

Il ne reste plus à la cavalerie qu'à bondir sur les flancs découverts de l'ennemi, à gauche...

faille7... Et à droite. Hourra, les hoplites peuvent poutrer de la cavalerie, qui ne s'échappera pas.

 

Bon, attention, car ces images ne sont là que pour illustrer, en gros, et à ne pas prendre au pied de la lettre. D'une part, les situations sont toujours inédites à DBM et ne se ressemblent jamais, et d'autre part, je n'ai fait ces compositions que pour donner une idée. Il s'y trouve quelques erreurs à éviter en cours de partie. Mais je ne m'en sors plus si je dois tout vous dire !

armée entière compacteToutes les plaquettes de l'armée à 200 points. On voit la grande quantité de hoplite relativement à toute l'armée.

 

Bien entendu, cet article ne recouvre que quelques possibilités envisageables avec cette armée Early hoplite greek, liste 52 du livre 1 de DBM. Mais, comme je le disais juste au dessus, rien n'est vraiment prévisible à DBM, pour peu que l'on varie les adversaires, et pire encore si ces adversaires sont ingénieux et imprévisibles. Il faudra de toute façon beaucoup d'adaptation et d'audace pour tirer partie de cette armée, couplées à une grande prudence, car cette armée est puissante, mais peut dérouter très vite si l'on n'est pas prudent.

 

 

C'est tout pour mes Grecs en 200 points. Bientôt, je ferai un point sur les figurines de l'armée carthaginoise, qui ont pas mal avancé...

A plus ! Et même à bientôt autour d'une table de jeu !

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commentaires

M
<br /> Ouaip, on est venu une fois, début août. Sans doute repasserons-nous, ou repasserai-je avant la reprise (snif !).<br /> Ah les enfants, ça mange le temps ! La maison, ça mange l'argent... La femme, ça mange !<br /> <br /> <br />
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V
<br /> et bien, le travail ..., les enfants, plus les travaux de notre maison ont fait que je n'est pas pu avoir beaucoup de temps libre ces derniers mois.<br /> mais je compte bien vous retrouver très prochainement.<br /> venez-vous au club en aout ?<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Merci Vince !<br /> La suite de l'article viendra bientôt.<br /> Et toi, que deviens-tu ?<br /> <br /> <br />
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V
<br /> juste un ptit coucou, je vois que le (superbe) travail continue, bravo<br /> <br /> <br />
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